L’internalisation n’est pas l’apanage du programmatique

Une étude menée par l’ANA auprès de 412 marketers américains révèle que 78% des répondants ont adopté l’internalisation d’activités généralement gérées par des « agences » externes, contre 58 % en 2013. Bien souvent évoquée dans le cadre du programmatique, ce dernier n’est pas le seul domaine concerné par l’internalisation.

L’internalisation des services créatifs

 Les services créatifs notamment font partie des domaines internalisés pour 76% des spécialistes interrogés. Alors que les conversations liées à l’internalisation étaient auparavant plus axées sur les achats programmatiques, les choses sont en train de changer.

De plus en plus d’entreprises l’envisagent en effet comme un moyen efficace de se réapproprier le parcours client, les données et l’exécution des stratégies, mais pas uniquement. Environ 4 annonceurs sur 10 interrogés par l’ANA ont déclaré que la rentabilité était le principal avantage de l’internalisation, se positionnant ainsi devant la rapidité, l’expertise créative, le contrôle ou encore une meilleure connaissance de la marque.

Stéphanie Silo d’après eMarketer