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Mobile : ce que les développeurs attendent de l’ad network de Facebook

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facebook-ipo-stocks-exchange-004-640x480Facebook est sur le point de lancer son réseau publicitaire mobile, Facebook Audience Network. D’ailleurs en moins de 2 ans, Facebook  a su opérer ce virage vers le mobile qui génère 60% des revenus publicitaire de l’entreprise. La mise en place d’un ad network mobile va permettre aux annonceur de profiter de l’information dont Facebook dispose sur les internautes via des applications tierces. Mais qu’est ce qui intéresse aussi les concepteurs d’applications mobile qui souhaitent monétiser leurs inventaires. Le paysage concurrentiel est déjà bien occupé par iAd et autre Millennial Media alors comment faire le différence ?

L’engagement : une des question c’est de savoir si la plateforme de Facebook va permettre de générer de l’engagement sur le mobile. Plus on doit clicker avant une action, plus on perd l’attention des prospects. Si on peut permettre à un internaute d’activer un application ou de demander des informations complémentaire directement dans le pub cela permettrai de créer de l’engagement au sein de la bannière.

facebookLe suivis de conversions : c’est souvent le point faible lorsque l’on opère des campagnes sur le mobile sur Facebook c’est qu’il n’est pas facile de suivre les conversion comme par exemple le nombre de personne qui a téléchargé une application après avoir cliqué sur une bannière. Il faudrait que les utilisateurs d’application se connectent via Facebook afin de permettre de mettre le retargeting via des applications tiers. Or cela ne convient pas toujours pas tous les types d’applications.

tableau de bord : la qualité de l’outil de reporting est aussi au coeur des besoins des éditeurs d’applications. Faut d’un outils fiable, c’est pas possible de bien valoriser le CPM. Ainsi, on peut ganger moins avec une application utilisée par 1000 personnes dont les revenus dépassent 1 M€ par an que si on a un millions d’utilisateurs qui sont des enfants. Ce n’est pas un problème spécifique à Facebook. Google souffre des même maux.

Enfin, On s’attend à ce que le prix du CPM diminue en raison de l’abondance de l’inventaire…

Pierre Berendes

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