Le retargeting fait parler de lui. Et souvent en mal. La preuve: Criteo veut prouver par A+B que le retargeting ou, plus joliment dit, le « display à la performance », marche. Ecoutons la plaidoirie.
Le principe du display à la performance est bien d’afficher une publicité en lien direct avec une action réalisée auparavant par l’internaute (une recherche par exemple). Or, pour l’ad tech française, l’idée que les bannières publicitaires à la performance ne fonctionnent pas en ligne est en train de s’éroder et pour cause :
« – On voit et on clique sur les bannières à la performance à une échelle massive,
– Les bannières à la performance permettent aux utilisateurs de voir des choses qui comptent pour eux, ce qui fait qu’ils répondent et agissent avec des intentions mesurables,
– Les bannières à la performance optimisent l’ensemble des dépenses média des annonceurs, et offre une large part de ‘cliqueurs’ exclusifs,
– Les solutions display à la performance en paiement au clic ont un réel impact sur le branding, qui n’est tout simplement pas évalué par les stratégies de réponse directe. »
Pour ce faire, Criteo a analysé avec Nielsen et Médiamétrie les comportements sur desktop et ordinateur portable de 220 mille utilisateurs aux Etats-Unis et 22 mille en France. Les résultats viennent d’être publiés dans le livre blanc intitulé « Performance display ads turn viewers into clickers » : 19,4% des internautes en France (soit 5,8 million de personnes) ont cliqué sur au moins une publicité à la performance ; les « cliqueurs » sur les bannières en retargeting ont des profils plus « intéressants » pour les marques, car ils sont plus riches et plus âgés, le nombre de personnes exposées à ces types de bannières venant de Criteo équivaut à 53% de tous les internautes dans le monde…
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L.U.L.