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The Financial Times lance le coût par heure (CPH) pour facturer ses annonceurs

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FT_openLe temps c’est de l’argent. Et pour cause. The Financial Times a décidé de démontrer que l’adage est réalité aussi dans les cas des bannières publicitaires : plus un consommateur est exposé à une bannière, plus il sera sensible à la marque. Il faut donc facturer l’annonceur au temps d’exposition de la bannière ! Et voici que l’on entend désormais parler du CPH, coût par heure… et non plus par mille impressions affichées. Le must désormais semble être de ne plus se contenter de savoir si une cible a vu la pub mais d’identifier combien de temps l’expérience a duré.

Le temps_iconePour mettre le nouveau système en route, le journal a collaboré avec Chartbeat, spécialisée dans la mesure et la mise en place de stratégies pour capter l’attention des marques. La phase test avec des annonceurs tels que BP et IBM aurait été couronnée de succès d’après le journal, générant plus de $1 million d’augmentation de revenus. Selon le communiqué du Financial Times, ces tests ont prouvé une hausse significative de la reconnaissance de la marque par les lecteurs et une visibilité assurée à 100% pour minimum 5 secondes. Pour le temps d’exposition de 5 secondes, la reconnaissance et le souvenir de la marque auraient été de 50% supérieurs à ceux observés lors de temps plus courts.

Pour chaque impression le journal serait en mesure d’indiquer combien de temps la pub a été vue et le temps total d’exposition durant la campagne. « Tandis que le CPM évalue chaque impression de la même manière, le CPH se sert du temps pour mensurer la valeur. Le FT a démontré à travers de nombreux tests que la familiarité à la marque et son souvenir par les lecteurs augmente de manière significative avec la durée d’exposition à la publicité », a déclaré Dominic Good, directeur de ventes publicitaires au journal.

 

LUL

 

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