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Des éditeurs notifiés par Google pour leurs mauvaises pratiques publicitaires

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Google.

Afin de réduire le recours à certains formats publicitaires intrusifs (définis notamment par l’industrie de la publicité elle-même, lire ici), Google cherche en ce moment à sensibiliser les éditeurs dont les pratiques laissent à désirer. L’objectif est de les inciter de manière pédagogique à changer de format avant qu’il ne soit trop tard : en 2018, les sites qui ne respectent pas ces standards de qualité seront bloqués par défaut sur Chrome, information confirmée par Google en juin dernier. Dans les prochaines semaines, des éditeurs à l’origine de pratiques non conformes à ces standards de qualité seront contactés un par un par Google (lire ici).

Google aurait ainsi passé en revue 100 000 sites. Moins de 1% seraient de mauvais élèves, parmi lesquels 60% se situent en Europe. Sur desktop, l’écrasante majorité des mauvaises pratiques (97%) concerne encore le recours aux vieux pop-ups, toujours aussi dérangeants, toujours aussi utilisés, tandis que sur mobile ce pourcentage baisse à 54%, 21% des problèmes étant liés à une trop forte pression publicitaire.

Même si la majorité des mauvais élèves sont des sites de moyenne et longue traîne, certains noms bien connus font partie des ces éditeurs avertis par Google, selon AdAge et Digiday, comme Forbes, New York Daily News, Los Angeles Times et The Independent (lire ici l’article d’Ad Age et ici celui de Digiday).

LUL

(Image: Shutterstock.)

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