D’après l’analyse de Daren Trousdell, directeur-général du réseau social et portail sportif mobile OneUp Sports, l’éditeur sortira gagnant si son stratégie combine les efforts de ses équipes commerciales à la mise en place de la monétisation programmatique. L’un ne devrait pas aller sans l’autre, dit-il. D’après lui, la question n’est pas celle de la réduction du personnel des régies, mais d’un changement de leurs compétences. Son billet est publié sur adexchanger (cliquez ici).
« Pour tirer le meilleur parti d’une stratégie de ventes combinée [entre le direct et le programmatique] il faut réorganiser l’équipe commerciale », dit-il, car il y a, selon lui, énormément de place pour les personnes disposant de bonnes compétences. « La prochaine génération d’experts en ventes de publicité sera encore plus rodée que l’actuelle, avec une compréhension accrue au sujet des données et de l’analytique et la capacité à bâtir des relations interpersonnelles encore plus fortes. »
Le rôle des relations personnelles entre les marketeurs et les agences et les éditeurs semble ainsi plus que central dans une approche qui intègre pourtant une grande place à l’automatisation de la vente de l’inventaire. Il faut ainsi former les équipes actuelles, leur transmettre le savoir technique spécifique au programmatique et étendre leur rôle et participation dans les relations et contacts avec les différentes plateformes et partenaires de l‘écosystème programmatique, explique-t-il.
« Avec les bonnes plateformes [data], les éditeurs accèdent aussi à des données de prospection plus approfondies qui peuvent alimenter les efforts de leurs équipes de ventes, leur fournissant une solution de nouvelle génération immédiate. »
Lire ici le billet signé par Daren Trousdell sur adexchanger.
LUL