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Pour le boss du marketing d’Unilever, les niveaux de dépenses en programmatique sont encore bas

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keith-weed-UnileverUne attitude s’impose : admettre que l’environnement et les pratiques du marketing digital changent à toute vitesse et qu’il faut rester prêt à s’y adapter aussi vite que nécessaire. C’est le message que l’on peut comprendre des déclarations du responsable marketing d’Unilever à The Drum (lire ici), lors du Web Summit qui a récemment eu lieu à Dublin, Keith Weed. Keith faisait allusion aux différents changements qui ont eu lieu dans les pratiques, comme le développement de Facebook, et l’avènement du programmatique.

Le programmatique, tiens. Tout en gardant de côté des projets spécifiques à son groupe, soit l’un des plus gros et importants annonceurs mondiaux, tous canaux confondus, Keith Weed a livré son analyse qui consiste à considérer la télévision programmatique comme une destination potentielle de l’industrie de la publicité Unileverdans son ensemble appelée à se développer. « Nous sommes dans un environnement d’apprentissage et mise en pratique rapides et où est-ce que cela va terminer ? Je ne sais pas. Auriez-vous pu prévoir comment les marques allaient s’engager avec Facebook il y a 5 ans ? La réponse est certainement pas » a-t-il dit.

Pour le CMO d’Unilever les niveaux de dépenses en programmatique sont encore bas. Et ce qu’il est sûr est qu’il faut garder profil bas, car personne ne peut vraiment prédire les évolutions ni leur timing.

« Les règles que nous avons écrites il y a trois ans sur comment faire du marketing sur Facebook sont complètement obsolètes aujourd’hui et ni Facebook ni nous-mêmes ne savions comment cela allait évoluer et c’est bien du respect que nous devons avoir à l’égard de tout ce nouveau secteur du marketing. »

LUL

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