Quelle complémentarité entre TV, social et Open Web ?
Bastien Deleau, Prisma
« Chez Prisma, nous avons atteint une cohabitation équilibrée entre le print et le digital. Aujourd’hui, 75 % de nos revenus publicitaires proviennent du digital, et 25 % du print, témoignant de notre transformation réussie. Nous continuons d’exploiter les synergies entre ces deux supports pour maximiser l’impact publicitaire. »
« Nous constatons une véritable valorisation de la data first-party des groupes médias. Par exemple, en activant la data de Prisma sur des environnements télé augmentés, nous avons observé une meilleure performance par rapport aux données génériques disponibles sur le marché. »
« L’intégration de la data first-party dans des campagnes télé segmentées permet une optimisation accrue des résultats. Nous avons récemment collaboré avec Jellyfish pour Yves Rocher, démontrant que l’utilisation de nos données améliore significativement les performances des campagnes télévisées. »
Devak Devendra, Kenvue
« Chez Kenvue, nous observons une fragmentation croissante des budgets télévisuels, avec une part de plus en plus importante allouée aux plateformes de télévision connectée et de streaming. Nous testons activement ces nouvelles plateformes pour optimiser notre portée et l’impact de nos campagnes. »
« L’un de nos défis majeurs est de protéger l’image de marques telles que Le Petit Marseillais dans des environnements numériques. Nous privilégions les partenariats avec des éditeurs fiables comme Prisma pour garantir un contexte brand-safe et de haute qualité. »
« Nous avons récemment adopté des stratégies de géociblage pour certaines de nos marques, en identifiant les régions où elles ont le plus d’impact. Cela nous permet d’adapter notre pression médiatique et d’optimiser nos investissements publicitaires en fonction des spécificités régionales. »