Le marché de la publicité display en ligne est empoisonné par la fraude des robots à l’origine des fausses impressions, voire des fermes à clic. Tous les mois des statistiques assez décourageantes viennent donner une petite idée des milliards qui y sont gaspillés. Tous les mois ou presque de nouvelles solutions de lutte anti-fraude sont proposées par le marché du programmatique. Dans ce contexte, les pro du search profitent pour vanter leurs solutions et leur fiabilité, comme le fait le président de Didit, Kevin Lee, un spécialiste de ce type de solution, qui consiste à promouvoir des liens sponsorisés au sein des moteurs de recherche.
Non pas que le search ne soit pas susceptible lui aussi d’être envahi par les robots, mais parce qu’il serait plus facile d’y contrôler ce fléau. « La bonne nouvelle est que d’importants big players aux Etats-Unis – comme Google, Bong et Yahoo – ont tous réalisé des audits afin de certifier qu’ils adoptent des standards de l’industrie pour identifier de faux clics et les enlever des relevés de facturation », dit-il.
Est-ce une garantie de perfection à 100% ? « Non, mais la majorité des marketeurs qui achète du search au CPC donne énormément d’importance au dernier clic lors de l’évaluation de ceux qui viennent à partir des moteurs de recherche et si les clics en question ne convertissent pas, la valeur de l’enchère baisse. »
Kevin vante également le fait que le search est un investissement souvent plus sûr : l’utilisateur qui clique sur le lien le fait car il a un intérêt précis et identifié : aux marques d’utiliser leur site pour augmenter cet engagement, une fois que l’utilisateur y arrive, à travers notamment l’usage de vidéos dans les pages d’accueil.
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LUL