Il était pour eux temps de vérifier en détails l’impact véritable des publicités dites natives. Pour ce faire ils ont comparé l’efficacité en termes de sensibilisation à une marque des campagnes de publicité native vidéo à celles de vidéos classiques en pre-roll. Au final, plus encore que montrer l’efficacité des campagnes avec le concept natif, ils ont prouvé les effets néfastes des publicités en pre-roll… Il était temps, non ?
Sharethrough la solution de publicité native pour les éditeurs de sites et d’applications a dévoilé ainsi les résultats de l’étude qu’elle a réalisée pour le compte de Nielsen.
Les voici :
– Dans toutes les campagnes étudiées (cinq au total) les publicités natives ont apporté de bien meilleures résultats… Ils seraient même 82% supérieurs à ceux des campagnes de pre-roll.
– L’étude a pour conséquence aussi de démontrer l’inefficacité du pre-roll puisque la différence est minime entre ceux qui n’ont pas été exposés à une campagne publicitaires et ceux qui ont été exposés au pre-roll. (Voir le graphique ci-contre.)
– L’impact du pre-roll sur les intentions d’achat des consommateurs est négatif ! Celui des publicités vidéo natives, positif…. Tandis que 32,2% des personnes non-exposées à la campagne avaient l’intention d’acheter le produit, ce taux a chuté à 22,7%, suite à la campagne en pre-roll. Il est passé à 45,8% après la diffusion de la campagne native. (Voir le graphique ci-contre.)
Deux mots sur les concepts de cette étude : on considère comme étant native la publicité vidéo qui est « totalement intégrée à l’expérience naturelle du site » et qui ne se déclenche pas automatiquement mais à la demande (au clic) de l’utilisateur. Elle ne s’arrête pas non plus si on ne clique pas dessus. La publicité vidéo pre-roll démarre automatiquement, avant même que l’utilisateur ne la sélectionne, et dure entre 15 et 30 secondes.
Pour accéder à l’étude, cliquez ici.
LUL