Intox ou réalité ? Alors que le marché de la publicité est dominé par Google et Facebook, une plateforme de publicité native a décidé de prouver qu’il est possible malgré tout de rendre des éditeurs heureux. Adsnative, alias Polymorph, a interrogé ses 7500 clients éditeurs sur le web et sur le mobile pour constater que plus de la moitié (53,9%) ne croient pas que les budgets publicitaires restent entre les mains d’une petite poignée d’acteurs. Voici quelques tendances dégagées dans le cadre de cette enquête :
!["The state of native advertising 2017", Adsnative, avril 2017.](https://ad-exchange.fr/wp-content/uploads/2017/04/Adsnative_etude-native-300x141.png)
– 92,3% des éditeurs interrogés ont constaté une hausse de leurs revenus de publicité native en 2016 ;
– 69,2% obtiennent la majorité de leurs recettes via des accords en direct ;
– 84,6% ont recours aux vidéos en outstream ;
– 66,7% utilisent une plateforme de gestion de données (DMP) pour proposer de la segmentation comportementale aux annonceurs.
L’étude cherche à démontrer que des critères autres que les traditionnels taux de clics commencent à prouver leur intérêt pour la marque, comme la mesure du temps pendant lequel l’utilisateur reste exposé à la publicité, tout comme du nombre de partages et de « j’aime » un post sponsorisé peut générer.
En matière de programmatique, Adsnative constate un très fort (49%) recours au garanti automatisé, suivi d’enchères au premier prix (34%) et enfin au header bidding serveur à serveur (17%).
LUL
(Image : Shutterstock ; « The state of native advertising 2017″, Adsnative, avril 2017.)