Business Week revient sur Amazon pour démontrer que, bien plus qu’un Google, Microsoft ou différents réseaux sociaux, l’e-commerçant dispose des données d’une valeur inestimable : car les utilisateurs qui s’y connectent et s’y inscrivent le font avec la carte bleue en mains. Mais Amazon semble connaître également les limites de la publicité personnalisée.
Le géant dispose à ce jour de quelques 237 millions d’utilisateurs actifs. Et grâce à la technologie data, il peut suivre ce consommateur, connaître son historique d’achat, se recherches, ses envies… ici et ailleurs.
Mais Amazon semble connaître également les limites de la publicité personnalisée – par l’agacement qu’elle peut générer sur certains utilisateurs qui n’aiment pas que l’on montre que l’on sait sur lui. Tout aussi prudent, il ne semble pas officiellement motivé à emprunter le chemin du commerce de la data. De peur de perdre ses clients, Amazon ne livrera pas ses données aux annonceurs, affirme l’article. « La confiance de nos clients est primordiale pour nous et nous ne ferions jamais quoi que ce soit qui mette cette confiance en péril », affirme Lisa Utzschneider, vice-présidente de ventes publicitaires globales à Amazon media Group. Sur la façon de gérer la publicité personnalisé d’Amazon, lisez également notre article ici.
Les recettes publicitaires se développent mais restent naturellement marginales à côté des ventes en ligne qui demeurent le core business du groupe. En 2014, selon Business Week, Amazon atteindra le cap du milliard de dollars avec les publicités. En 2013, il a facturé $ 70,5 milliards en vendant en ligne.
Pour lire l’article, cliquez ici.
LUL