L’information est publiée par Advertising Age. Selon l’article, Facebook, Google et tout autre éditeur qui n’autorise pas les annonceurs à vérifier la visibilité des campagnes avec des solutions tierces « indépendantes » seraient en train de perdre des annonceurs. Ce serait déjà le cas de Kellogg qui aurait enlevé des budgets destinés à des campagnes sur YouTube et Facebook. Et aussi de Kraft Foods, bien que là l’entreprise ne cite pas le nom des éditeurs, mais déclare qu’elle arrête de dépenser sur certains éditeurs qui n’autorisent pas la vérification de la visibilité par un acteur externe.
Le souhait des annonceurs est de pouvoir utiliser une même méthode de vérification partout où leurs campagnes sont diffusées. Le souci est que – nous l’avons vu à plusieurs reprises sur ad-exchange.fr – les méthodes et les critères de mesure ne sont pas les mêmes et les différences que cela engendre d’une solution de mesure à une autre peuvent être très importantes. Qui aura donc raison du résultat ? L’éditeur ou l’annonceur ?
LUL