Après le Financial Times et The Economist, aux États-Unis, c’est au tour du Guardian, au Royaume-Uni, d’annoncer la mise en place du coût par heure (CPH) comme critère pour la facturation des campagnes publicitaires.
Le principe de ce critère émergent est de conférer de la valeur au temps de vue active et non à l’affichage (ce qui suppose que le contenu est de qualité !). Une vue active est celle dont on peut être sûr que l’utilisateur est de facto en train de lire le contenu affiché sur son écran (il le déroule, il bouge sa souris, etc.).
The Guardian propose des créneaux de cinq à 30 secondes, avec 100% de visibilité. Les bannières ayant suscité moins de 5 secondes d’attention ne seraient donc pas facturées.
Les éditeurs défendant ce principe soutiennent qu’il peut être appliqué aussi bien pour des objectifs de branding que de performance, les taux de clics étant selon eux également supérieurs.
LUL