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Étude : ce qu’il faut pour relever le défi du marketing cross canal.

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Exêrian_openIl est vrai que le digital a engendré la révolution des données, qui coulent à profusion permettant comme jamais auparavant aux professionnels de la communication et du marketing de bien se renseigner au sujet de leurs cibles, clients et prospects. Mais dans la pratique le beaucoup est devenu trop, parce que les équipes ne parviennent pas tout à fait à relever le défi de la data en environnement multi-device et à la rendre vraiment intelligible et exploitable.

C’est en tout cas ce que nous expliquent les auteurs d’un rapport signé par le spécialiste britannique de la donnée marketing Experian Marketing Services : les marketeurs ne seraient pas encore en mesure de faire le lien entre les différentes données de façon à avoir une vision unique du consommateur ; leur technologie serait encore inadaptée tout commet l’organisation interne de leur structure. Résultat : on n’arrive pas vraiment à relever le défi du marketing cross canal.

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« Ces trois barrières n’ont pas vraiment beaucoup changé si comparées à [l’étude de] l’année dernière, ce qui n’est pas surprenant puisque ce sont des obstacles difficiles à dépasser et que les marketeurs y travaillent toujours », explique le document.

En accouchant d’un pavé de 122 pages, son Digital Marketer 2015, Experian tente de faire le point sur la question après avoir interrogé 1000 marketeurs à travers le monde. Et l’entreprise livre ses constats – qui sont le reflet du vécu des marketeurs eux-mêmes –, son analyse de la situation et ses recommandations, tout particulièrement en matière de meilleures tactiques de collecte, de tri, de synchronisation et de segmentation des données, de création de profils et d’interaction avec les cibles à travers de multiples canaux.

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Une bonne nouvelle, nous enseigne le rapport, le nombre de marketeurs travaillant dans des équipes tout à fait intégrées est passé de 28% à 35%. Face à cela, en contrepartie, la quantité de professionnels évoluant au sein de structures à silos a, elle aussi, augmenté (de 27% à 33%). Le défi consistant à faire évoluer ces organisations vers plus de partage de données et une plus importante circulation de l’information demeure ainsi significatif.

 

Pour découvrir ces constats en détails et les meilleures pratiques suggérées en la matière ponctuées d’études de cas nombreux, vous pouvez télécharger le document en cliquant ici.

 

Luciana Uchôa-Lefebvre

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